Prison School hentai, la parodie du ecchi le plus BDSM

Le manga Prison School s'invite parmi les plus intenses de la sphère ecchi, flirtant même avec les sommets de ce genre animé. Le public retient son souffle devant tant d'érotisme exprimé dans cette saga. Paru en 2011, ce manga qui compte 28 volumes a pris du temps à sortir de l'ombre. C'est en 2015, grâce au lancement de la série animée, que son succès explose et le propulse dans le rang des plus populaires. Avec seulement 12 épisodes diffusés jusqu'en 2017 et un OAV, le titre a su convaincre les inconditionnels du genre ecchi que Prison School est un must. Les auteurs n'ont pas hésité à repousser les limites de la notion de soumission et du fantasme, une stratégie qui a plutôt bien fonctionné. Certains n'hésitent pas à associer ce manga au courant BDSM, tant il se rapproche de cette catégorie. Officiellement classé dans la branche seinen avec une pointe d'humour et d'action de ecchi, mais selon moi, ceux qui ont étiqueté Prison School de cette manière ont probablement omis de regarder la série. Comment ignorer le thème récurrent de l'humiliation !

Son intrigue se déroule dans un environnement particulièrement original et inhabituel, une école notoire pour sa sévérité et qui était autrefois exclusivement féminine. Suite à un changement de politique, cinq mâles intègrent cette école pour finalement se retrouver rapidement isolés comme des prisonniers par leur comportement. Ils sont ensuite confrontés à un ennemi redoutable : le bureau des élèves (BDE), composé de trois femmes dominantes et impitoyables qui ne souhaitent qu'une seule chose, leur rendre la vie impossible. Prison School en version classique suffit à captiver l'attention, mais avouons-le, la version hentai de Prison School pimente davantage l'expérience, surtout pour admirer nos héroïnes à l’œuvre dans des scènes plus... osées!

Mari Kurihara à découvert, la Présidente du BDE dans Prison School hentai

Mari Kurihara, l'élégante présidente du bureau des élèves clandestins (BDE), n'est autre que la fille du principal et la sœur de Chiyo. Elle est aussi passionnée par l'élevage de corbeaux et se révèle très rapidement cruelle envers les garçons. Ces derniers, voulant simplement l'observer de manière secrète, ont été pris la main dans le sac et se sont retrouvés enfermés. Pour le plaisir des yeux, les photos hentai de Mari Kurihara, quoique peu nombreuses, sont suffisamment intéressantes pour nous divertir sans frustration.

Meiko Shiraki dévoilée, la plus voluptueuse du BDE

Meiko Shiraki est la star de la version hentai, avec ses courbes vertigineuses. Cette dominatrice use de ses charmes pour mettre les garçons à genoux. Mais derrière cette apparence stricte se cache une insatiable avide de frasques en tout genre. C'est l'une de mes favorites, non seulement car elle a l'habitude de dévoiler ses courbes généreuses, mais surtout car elle réussit à rendre chaque moment inoubliable.

Hana Midorikawa, la blonde obsédante de Prison School hentai

Hana Midorikawa, malgré l'absence de poitrine opulente, se distingue par son postérieur rebondi. Elle ne manque pas de piquant avec son attitude provocatrice, et elle donne du fil à retordre à quiconque ose s'approcher trop près. Quoi qu'il en soit, j'avoue préférer les courbes voluptueuses et, franchement, le carré blond c'est mignon mais ça n'égale pas la beauté d'une belle crinière. Cela dit, l'image d'Hana en maîtresse BDSM hentai fait son effet, et c'est avec plaisir qu'on se laisserait guider par cette coquine, même si, à la base, on est pas du tout adepte.

Et pour ceux qui en veulent encore plus, pourquoi ne pas jeter un coup d'œil à mes doujins Prison School pour un moment encore plus torride ?. Il y a de quoi satisfaire les plus gourmands ! Notez cependant que cette vidéo n'est pas une parodie, elle reprend fidèlement les scènes explicites de la série originale. Après tout ça, vous serez à même de juger si Prison School mérite sa place dans le top 3 des meilleurs ecchi de tous les temps !